Historian and activist Barbara Roberts, who died in 1998, inspired the creation a fund which awards $2,000 approximately every other year to an applicant whose action-based research fits into one of the following four areas: peace issues; workplace/unions/radical social movements; social justice/human rights; and Women’s Studies education. This support is aimed at independent scholars and community-based researchers rather than students.

The Barbara Roberts Memorial Fund is administered by the Canadian Research Institute for the Advancement of Women (CRIAW), and is supported through fundraising efforts by the membership of the CCWGH-CCHFG. This grant is for action-based research projects on one of the four themes indicated above. This grant will fund the whole project, or parts or stages of a project. The funds are meant to provide access to research funding to those who normally would have difficulty obtaining research funds. The research must make a significant contribution to feminist research and be non-sexist, non-racist and non-homophobic in its methodology and language.

Each project will be evaluated by members of a special jury, whose decisions will be final. No individual critiques can be provided. If no submissions meet the jury’s requirements, the grant money will be returned to the fund.

Priority will be given to women’s groups and unaffiliated emerging researchers. Please note that the Barbara Roberts Memorial Fund does not fund 1) research which is part of an educational degree; 2) the publication of a document which is the outcome of a previously completed research project; 3) workshops and conferences; 4) projects outside of Canada; 5) capital expenditures such as furniture, computers, books. The primary researcher must be a Canadian citizen.

More information about the Barbara Roberts Memorial Fund can be found on CRIAW’s website.

Interested in making a donation to the fund? You can do so through CRIAW’s website. You can also use our membership site to make a donation. Fill in your amount and payment details, and then use the “special instructors to seller” field to indicate you wish your donation to go to the Roberts fund.

 

About Barbara Roberts

(Contributed by Linda Kealey and Karen Balcom)

Barbara Roberts was a transplanted American with strong Canadian ties. She obtained her BA and MA from Simon Fraser University and her doctorate from the University of Ottawa. Her doctoral thesis became From Whence They Came: Deportation from Canada, 1900-1935 (1988). Barbara was active in a number of social movements that dealt with peace, social justice, labour and women’s issues.

In addition to teaching at a number of universities Barbara was a member of the Society of Friends (Quakers) and a peace activist. In 1985, she helped set up the Peace Tent at the UN’s Decade of Women’s Conference in Nairobi, Kenya, and she also organized a Peace Caravan to tour the Atlantic Seaboard. Her involvement in feminist, faculty union and peace movements causes informed her scholarship. In 1995 she co-authored a handbook, Strategies for the Year 2000: A Woman’s Handbook, which appeared in time for the fourth world conference on women in Beijing, China. Her last book, a study of social reformer, socialist, feminist and pacifist Gertrude Richardson, reflected Barbara’s commitment to both activism and scholarship (A Reconstructed World: Gertrude Richardson, A Biography). When Barbara died she was working on a comparative study of women in the Australian and Canadian peace movements.

In her community service Barbara also supported and worked with organizations such as the Canadian Women Studies Association, the Social Sciences and Humanities Research Federation, the Faculty Union at Athabasca University, and CRIAW. She was the Alberta Representative on the CRIAW Board from 1993 to 1998, and was active in many parts of CRIAW’s life, notably the Global Feminists Committee and the Publications Committee. In honour of her work, her colleagues at CRIAW established this memorial scholarship.

Previous Winners


L’historienne et militante Barbara Roberts, décédée en 1998, a inspiré la création d’une bourse commémorative qui accorde 2 000 $ environ tous les deux ans à une candidate dont la recherche, axée sur l’action, s’inscrit dans l’un des quatre domaines suivants: la paix; le travail/syndicats/ mouvements sociaux radicaux; la justice sociale / droits de la personne et l’éducation en études des femmes. Ce fonds s’adresse aux chercheuses indépendantes et aux chercheuses communautaires plutôt qu’aux étudiants.

Le fonds Barbara Roberts est administré par l’Institut canadien de recherches sur les femmes (ICREF) et est soutenu par des efforts de collecte de fonds par les membres du CCHFG-CCWGH. Cette bourse est accordée pour des projets de recherche-action sur l’un des thèmes mentionnés plus tôt. Cette bourse subventionnera le projet en entier ou en partie ou des stages reliés au projet. Le Fonds permet d’offrir une contribution financière aux personnes qui d’habitude auraient de la difficulté à obtenir une subvention de recherche. La recherche doit s’avérer une contribution significative à la recherche féministe et être dénuée de toute forme de sexisme, de racisme et d’homophobie tant sur le plan de la méthodologie que du langage.

Chaque projet sera évalué par les membres d’un jury spécial, dont la décision sera finale. Aucune critique individuelle ne sera accordée. Si aucune soumission ne correspond aux critères retenus par le jury, l’argent de la subvention sera versé au Fonds.

La priorité est accordée aux groupes de femmes et aux nouvelles chercheuses indépendantes. Veuillez prendre note que ces subventions ne financent pas 1) la recherche menée dans le cadre de l’obtention d’un diplôme, 2) la publication d’un document résultant d’un projet de recherche achevé antérieurement, 3) des ateliers ou des conférences, 4) des projets à portée internationale, 5) des dépenses telles que fourniture de bureau, ordinateurs, livres. La chercheuse principale doit être une citoyenne canadienne.

Plus d’informations sur le fonds commémoratif Barbara Roberts se trouvent sur http://www.criaw-icref.ca/fr/.

Vous souhaitez faire un don au fonds? Vous pouvez le faire sur http://www.criaw-icref.ca/fr/. Vous pouvez également utiliser notre site pour faire un don. Entrez le montant désiré et vos détails de paiement, puis utilisez le champ «instructions spéciales au vendeur» pour indiquer que vous souhaitez que votre don soit versé au fonds Roberts.

 

À propos de Barbara Roberts

(Avec la contribution de Linda Kealey et Karen Balcom)

Barbara était une immigrée américaine avec des racines solides au Canada. Barbara a fréquenté l’Université Simon Fraser pour son baccalauréat et sa maîtrise, suivie d’un doctorat à l’Université d’Ottawa, où elle a examiné le traitement des immigrants au Canada (publié sous le titre From Whence They Came: Deportation from Canada, 1900-1935).

En plus d’enseigner à un certain nombre d’universités, elle a été membre de la Société des Amis (Quakers) et une activiste pour la paix. En 1985, Barbara a aidé à créer la Tente de la Paix à la Décennie de l’ONU de la Conférence des femmes à Nairobi, au Kenya, et elle a également organisé une Caravane de la paix pour visiter la côte Atlantique. Son implication dans les causes féministes, syndicales et dans le mouvement pacifiste a contribué à son érudition. En 1995, elle a coécrit un manuel, Strategies for the Year 2000: A Woman’s Handbook, publié juste avant la quatrième Conférence mondiale sur les femmes tenue à Beijing, en Chine. Son dernier livre, une étude de la réformatrice, socialiste, féministe et pacifiste Gertrude Richardson, reflète le double engagement de Barbara pour la recherche académique et l’engagement social (A Reconstructed World: Gertrude Richardson, A Biography). Au moment de son décès, elle travaillait sur une étude comparative des femmes dans les mouvements pour la paix en Australie et au Canada.

Dans son service communautaire, elle a également soutenu et collaboré avec des organismes tels que la Canadian Women Studies Association, la Fédération des sciences humaines, le syndicat des professeurs de l’Université Athabasca, et l’ICREF. Pour honorer son travail et son implication, le CCHF-CCWH recueille des fonds pour une subvention de recherche ICREF qui porte son nom.